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Jouezà la roue de La Dépêche du Midi à l'occasion de la fête des pères - CR. Publié le 18/05/2022 à 00:06. l'essentiel Pour dire à son au
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Un énorme élan de solidarité des randonneurs Il y a surtout un énorme élan de solidarité des randonneurs sur place, tient à souligner le capitaine Zago, du groupement de gendarmerie de Foix, qui dirigeait les recherches. Une vingtaine de personnes se sont spontanément proposées et ont été réparties pour mener les recherches aux côtés des gendarmes, à pied, en voiture, et même à cheval puisque quatre cavaliers étaient là, dont la maman de l’enfant disparu. » Commencées dans de bonnes conditions de luminosité, les recherches ont bientôt été compliquées par des nuages bas et un début de brouillard, qui s’est heureusement dissipé assez rapidement, dans un froid étonnamment intense après les épisodes de canicule de ces dernières semaines. Retrouvé après plus de deux heures de recherches L’enfant a finalement été retrouvé plus de deux heures après le début des recherches, non loin du lieu de sa disparition, par un couple de civils participant aux recherches, un berger des environs et sa compagne. Frigorifié et un peu choqué par sa mésaventure, ses jours ne sont pas en danger. Il devait malgré tout être visité par un médecin, par mesure de précaution. Je lance un appel à la prudence des randonneurs, notamment lorsqu’ils se promènent avec des enfants, conclut le capitaine Zago. Il est essentiel de toujours les garder près de soi, et pas seulement en vue puisque l’enfant disparu aujourd’hui était resté à proximité de ses parents. Je tiens surtout à souligner l’excellent travail des unités engagées, dont la réactivité a permis d’éviter un possible drame, et j’adresse un immense merci à toutes les personnes qui se sont portées volontaires pour participer aux recherches. »
l'essentiel À 71 ans, Michel Besson exerce une activité professionnelle peu commune il réaménage des grottes. Le Cadurcien sera d'ailleurs à la manœuvre des travaux qui auront lieu à la fin de l'année aux grottes de Presque. Rencontre. Quand on cherche le nom de Michel Besson sur Internet, on lit "entrepreneur spécialisé dans la démolition". Mais ce n'est pas tout à fait ça. Certes, les explosifs sont au cœur de son activité. Certes, son entreprise a déjà été missionnée pour des destructions. Mais aujourd'hui, Michel Besson, Cadurcien d'adoption, est surtout spécialisé dans les travaux des grottes. Le réaménagement de la grotte de Domme, en Dordogne ? C'était lui. Le creusement des tunnels de la grotte de la Salamandre, dans le Gard ? C'était lui aussi. Les futurs travaux des grottes de Presque, cet hiver ? Ce sera encore Michel Besson. S'il sourit en racontant que sa première expérience avec un produit explosif — un pétard — avait coûté un dessous-de-plat en porcelaine à sa mère lorsqu'il avait 11 ans, l'avenir n'était pas tout tracé pour Michel Besson. Originaire de Paris, avec un passage par la Touraine, il s'installe dans le Lot en 1979. Il est, à l'époque, commercial. Aléa de la vie, il perd son travail au début des années 80. Mais Michel Besson garde son intérêt pour les explosifs dans un coin de sa tête il se reconvertit alors le secteur du terrassement et se met à son compte en 1984. Sur son temps libre, il pratique la spéléologie, comme depuis son adolescence. Un jour, un exploitant de grotte, celle de Labeil dans l'Hérault, le contacte pour réaliser un tunnel, en 1990. La machine est lancée. De fil en aiguille, Michel Besson reçoit de plus en plus de demandes pour intervenir dans des cavités. "À partir du moment où je suis spéléo, j'ai une approche respectueuse de la grotte dans mes travaux", souligne-t-il. Élargir le boyau des grottes de Presque Aujourd'hui, Michel Besson réalise des travaux dans les grottes pendant l'hiver, lorsqu'elles sont fermées au public. Il creuse aussi, plus ponctuellement, des caves pour des vignerons. À la fin de l'année, il s'occupera des grottes de Presque, à Saint-Médard-de-Presque. Maurice et Valérie Lamouroux, les exploitants du site, souhaitent faire agrandir le boyau qui donne accès à la cavité découverte en 2011. En l'état, seuls des spéléologues confirmés peuvent emprunter le passage. "On ne va pas faire un tunnel à hauteur d'homme. Il fera plutôt entre 1,20 et 1,30 mètre de haut, et les gens pourront passer à genou, avec une largeur de 80 cm. C'est une expérience qui va rapprocher de la spéléologie. Les visiteurs seront équipés d'une cotte, d'un casque, et un guide les accompagnera", décrit Michel Besson. Michel Besson, lors du creusement d'une cave à Châteauneuf-du-Pape, dans le Vaucluse. Photo DR Rémi Flamant - Utilisation autorisée pour La Dépêche du Midi Aux grottes de Presque, l'agrandissement du boyau se fera à coups d’explosifs, avec, évidemment, une charge adaptée. "Il s'agit de ne pas casser ce qu'il y a autour. C'est la principale difficulté", avertit le spéléologue. Autre danger les gaz émanant des explosions. "Il faudra mettre en place des systèmes de ventilation, avec un tuyau d'aspiration et un tuyau de soufflage. Et les tirs se feront seulement le soir, pour que pendant la nuit, les gaz soient extraits", prévient Michel Besson. L'évacuation des gravats sera ensuite manuelle, à l'aide de seaux et de brouettes. Dans la grotte, l'équipe sera constituée de quatre à cinq personnes. Pas moins, pour des raisons de sécurité et de charge de travail à abattre, et pas plus, à cause de l'espace restreint de la cavité. "Dans le milieu sous-terrain, il faut être en équipe. Le travail de l'un a une incidence sur le travail des autres. Alors, c'est important que tout le monde s'entende bien", pointe Michel Besson. Clément Besson, salarié de l'entreprise paternelle, sera de la partie. Et à 71 ans, Michel a bon espoir qu'un jour, Clément puisse prendre sa suite.
l'essentiel Les dix-huit chars du carnaval 2022 ont reçu leur prix. Les bénévoles sont de plus en plus volontaires pour l’édition du printemps prochain. Le comité du carnaval a, dimanche, organisé sa journée détente dans son local de l’avenue de la Côte-d’Argent. Tous les bénévoles, responsables des lotos ainsi que les personnes travaillant une bonne partie de l’hiver à la confection des chars étaient invités à ce rassemblement, tout comme le maire, Ronny Guardia-Mazzoléni, Simone Virelaude, maire adjointe chargée des festivités et aussi responsable du carnaval. Dans l’assistance on notait la présence de l’ancienne maire Emilie Munoz. "C’est grâce à votre implication que le canarval a fêté ses 32 ans"Christian Motta, président de l’association, a ouvert la série des discours. Il a remercié tous les bénévoles présents et aussi ceux qui travaillent dans l’ombre pour la réussite de cette manifestation qui a eu lieu le 2 avril dernier ouvrant les festivités de printemps dans la région. Les élus ont également félicité toutes les personnes qui ont travaillé pour la réussite de la 32e édition. Il a été précisé par le maire que le carnaval fait partie des trois grandes manifestations fleurantines qui sont soutenues par la municipalité, le conseil départemental et la région. Simone Virelaude a ensuite procédé à la remise des 18 coupes récompensant tous les chars. "Il n’y a pas de classement, tous étaient très beaux et le public les a aimés", a-t-elle précisé. Christian Motta a ajouté "Je sais que c’est avec beaucoup de plaisir et de fierté que vous vous donnez pour la réussite de cette manifestation. Comme chaque année, les derniers jours sont stressants et je vous comprends. C’est grâce à votre implication, à votre esprit d’équipe et à votre engagement que le carnaval a fêté cette année dignement ses 32 ans en avril dernier. La plus belle des récompenses pour le comité est l’ambiance délirante qui règne parmi vous et dans le public qui vient toujours de plus en plus nombreux participer à la cavalcade et aux animations qui sont autour ainsi qu’à la fête foraine. Le comité compte sur vous cette année encore et je sais que vous serez présents".Chaque responsable de char a reçu une coupe dont "l’Ile aux perroquets" qui a été offerte par la Dépêche du Midi.
l'essentiel Selon le nouveau "Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires", un rebond épidémique est attendu en France dans les prochaines semaines. Aucun nouveau variant ne semble cependant prendre la suite de La Dépêche du Midi fait le point sur les scénarios attendus. La France dans le creux de la vague. Avec 17 803 nouveaux cas de contaminations au Covid-19 chaque jour, l'Hexagone tourne progressivement la page de 7e vague, même si 15 590 patients sont toujours hospitalisés à cause du virus 919 d'entre eux sont d'ailleurs en réanimation. Le pays se trouve cependant à l'aune d'une 8e vague. C'est en tout cas ce que prédit le "Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires", qui a succédé au Conseil scientifique "Notre nouveau comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires signale qu'il va y avoir un rebond avec un nouveau pic en automne", a annoncé ce mardi 23 août le ministre de la Santé, François Braun, dans un entretien accordé à nos confrères de Midi Libre. A lire aussi Covid-19 le protocole sanitaire abaissé à son plus bas niveau pour la rentrée scolaire Un rebond, oui, mais à quoi va-t-il ressembler ? À l'heure actuelle, les contaminations au variant de la famille Omicron, s'essoufflent et aucun autre variant ne semble prendre le dessus. "On ne voit pas se profiler, nulle part en Europe actuellement, de nouveaux sous-variants qui sembleraient s’imposer et devenir dominants à leur tour, explique le professeur Antoine Flahault, médecin épidémiologiste et directeur de l'Institut en santé globale de l'université de Genève, auprès de La Dépêche du Midi. On pourrait donc bénéficier à la rentrée de septembre d’une accalmie un peu plus durable que les précédentes." Un nouveau variant à la rentrée ? La reprise épidémique pourrait donc dépendre des variants qui vont prendre la suite de cette 7e vague. "L’un des scénarios envisageables serait en effet un retour de cet automne-hiver, évoque le professeur Flahault. Ce serait alors une sorte de remake de l’an dernier avec le variant Delta. L'Europe avait connu durant l’été une vague Delta relativement modeste, avec peu d’impact sur les hospitalisations et la mortalité puis une forte vague automnale dont le pic a été atteint à la mi-décembre." pourrait donc faire son retour à la saison froide. C'est par exemple ce qui est constaté en Nouvelle-Zélande et en Australie là-bas, le variant est responsable d'une mortalité particulièrement élevée. D'autres variants pourraient également venir jouer les trouble-fêtes dans les prochaines semaines il s'agit de et "Le sous-variant de la grande famille d’Omicron a été identifié en mai dernier en Inde où il cause actuellement une forte vague, décrit le professeur Flahault. Ce sous-variant abusivement appelé "Centaure" comporte neuf mutations au sein de sa protéine Spike. Celles-ci pourraient le rendre non seulement plus contagieux mais aussi plus résistant aux vaccins élaborés contre le virus". Selon les dernières données communiquées par les autorités sanitaires, sept cas de contaminations ont été recensés dans le pays. A lire aussi VRAI OU FAUX. Covid-19 un syndicat de médecins a-t-il vraiment retourné sa veste pour s'opposer aux vaccins ? En ce qui concerne ce sous-variant s'impose progressivement aux États-Unis. Il représente 6% des contaminations au Covid-19 de l'autre côté de l'Atlantique. Il ne compte qu'une mutation supplémentaire par rapport à et qui répond au doux nom de "R346T". "Cette mutation a été observée dans d’autres variants, y compris certains sous-lignages du variant Donc à ce stade, je pense qu’il est trop tôt pour savoir s’il va surpasser explique le Dr Sharon Welbel, experte en maladies infectieuses, auprès de NBC Chicago. En termes de politique sanitaire, ce rebond épidémique pourrait en tout cas entraîner une nouvelle campagne de vaccination. Selon le ministre de la Santé, celle-ci va concerner "les mêmes publics cibles les plus de 60 ans", avec sans doute, les vaccins nouvelle génération promis par Pfizer, BioNTech et Moderna.
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